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VILLE PERMÉABLE

Pour pallier aux divergences actuelles, le plan directeur de Calton tire profit du « PLOT BASED URBANISM » pour transformer le secteur à partir de son lotissement.

DIVERGENCES ACTUELS

 

Tout d’abord, l’état actuel du quartier de Calton présente un certain degré de divergence dans la répartition des aires perméables à travers son tissu urbain. En plus de la répartition désuète des voies de raccordement et de restructuration au nord et sud de la ville, ce facteur est, entre autre, accentué par la présence de nombreux culs-de-sac et impasses dans certains quartiers résidentiels. Évidemment, cela contribue à la ségrégation de ce secteur et favorise l’insécurité. 

HIERARCHISATION STRATÉGIQUE DE LA TRAME VIAIRE 

 

Pour y remédier, les auteurs ont implanté des stratégies diverses et efficaces. Premièrement, une redistribution hiérarchique de la trame urbaine à l’échelle du lot fut de mise. Étant donné que la distance entre certains nœuds de services excédait 1000m (12 à 13 minutes de marches), l’opportunité d’implanter davantage de rues afin de ramener une cohabitation humaine entre les échelles de vitesse fut envisagée. Cela donne donc lieu à la création de rues principales urbaines, favorisant ainsi le principe de nœud de services à faibles distances de marches, soit 350m à 450m.

 

Sans pour autant transformer les bâtiments d’importance ou spécialisés, ces transformations facilitent l’orientation spatiale des individus par l’implantation d’une diversité de choix de déplacements et confirme le caractère identitaire de Calton. De plus, les intersections furent révisées afin d’atténuer le trafic et la cohabitation entre les divers modes de mobilité favorisant ainsi la marchabilité de la zone d’intervention. 

DENSITÉ COMME FACTEUR D’ATTRACTION 

 

D’autre part, une autre stratégie étudiée par les auteurs est l’augmentation de la densité par secteurs spécifiques. Proposée comme un district dans le prolongement de la rue Argyle, une augmentation significative de la densité au centre (W.Kerr et S.Herraghty, 2019) peut être un facteur d’influence sur l’attractivité de la ville. En plus de remédier à une faible délimitation de l’espace public en requalifiant les aires vacantes, cela contribue à la variété d’usage et d’offre résidentielle de faible à forte densité.  

« PLOT BASED URBANISM » ET TYPOLOGIE PROJETÉES SELON L’IMPLANTATION 

 

Finalement, les auteurs ont mis en application la théorie de Jane Jacobs sur les « Plot Based Urbanism (Jacobs, 1961) » arguant qu’élaborer un plan directeur sans tenir compte des spécificités du secteur d’intervention résulte d’un échec. C’est pourquoi concevoir à l’échelle de petit lotissement génère une certaine résilience, une capacité d’adaptation propre au lieu, encourage la participation informelle et respecte la culture locale (Romice et Porta, 2015).

 

À cette échelle, une série de gradation de privacité fut élaborée de cœur avec leur intervention en tenant compte de guides typologiques et historiques du secteur.  

Source : W.Kerr et S.Herraghty, 2019

Source : W.Kerr et S.Herraghty, 2019

Source : W.Kerr et S.Herraghty, 2019

Source : W.Kerr et S.Herraghty, 2019

 

Le bâti ayant des façades actives est implanté au front du lot agissant comme extension de la rue. Localisé dans les zones de haute densité, ce seront principalement les commerces qui auront cette typologie. 

 

Le bâti ayant une privacité minimale sera également au front du lot avec peu de marge de recul. Cependant, celui-ci aura une typologie privée telle que des bureaux ou du résidentiel. La fenestration sera donc moins présente. 

 

Le bâti de ayant une faible privacité sera caractérisée par une typologie résidentielle de prime abord et auront au moins une marge de recul de 1.5m du lot. La notion du semi-privé sera donc abordé compte tenu de sa proximité à l’espace public. 

 

Le bâti ayant une privacité modérée sera moins urbain et localisé dans des rues moins passantes. Les marges de recul pour cette typologie seront donc de 2.5m. 

Enfin, le bâti ayant une privacité élevée aura une marge de recul beaucoup plus importante à 4m du lot. Cela permettra aux propriétaires de s’approprier l’espace résiduel en façade tout en demeurant une aire privée, mais ayant les yeux sur la rue.

Source : W.Kerr et S.Herraghty, 2019

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VILLE DE PROXIMITÉ

Pour bonifier ses espaces urbains, le quartier de Calton utilise le principe de la ville de proximité pour s’attaquer à certains enjeux.

LES ENJEUX

 

Deux défis majeurs sont au cœur du plan du réaménagement du quartier de Calton.

  • Connecter les parcs qui sont isolés des réseaux de transports en redonnant la rue aux piétons et aux cyclistes (Accessibilité)      

  • Diluer les barrières à travers la ville par la mixité urbaine (Connectivité) 

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Tissu adapté à l'automobile

Source : W.Kerr et S.Herraghty, 2019

LES PARCS ET UNE PISTE CYCLABLE CONNECTÉS

 

Tout d’abord, très peu d’espaces verts sont disponibles pour les citoyens à travers la ville et ceux-ci sont mal connectés avec le système de transport en place, il est difficile d’y accéder. Par après, les pistes cyclables sont très disparates et mal connectées entre elles, les cyclistes sont obligés de partager les rues mal adaptées avec les automobilistes.

 

Pour remédier au problème, la première piste de solution est d’augmenter le nombre de pôles et de nœuds urbains verts (parcs) à travers le quartier et de relier ces différents espaces par la piste cyclable. Ainsi, les parcs sont beaucoup plus accessibles par leur proximité et leur nombre et la connectivité du quartier est augmenté par l’optimisation du réseau cyclable qui relie ces différents espaces encourageant le transport actif. Des parcs linéaires peuvent aussi voir le jour : un parc qui prend la forme d’une large route qui met en place un chemin exclusif aux piétons et cyclistes tout en offrant une aire de cohésion sociale.

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Tissu adapté à l'homme

Source : W.Kerr et S.Herraghty, 2019

DILUTION DES BARRIÈRES PAR L'OPTIMISATION DU BÂTI

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Par la suite, plusieurs barrières sont créées au sein de la ville par des quartiers spécialisés qui offrent seulement un certain type de services pour une clientèle particulière (notamment les universités). Ce problème de ségrégation est aussi accentué par la priorisation des voitures sur les routes, ce qui laisse peu de place aux piétons pour explorer la ville, ainsi que par la présence de plusieurs espaces vacants qui ponctuent le quartier.

Suite à ces constats, le plan directeur du quartier de Calton revigore les rues de la ville pour connecter les quartiers spécialisés avec les espaces vacants qui seront optimisés et réaménagés pour accueillir de nouveaux services. Cette mixité urbaine met en place le principe de la ville de proximité qui est accentué par la réorganisation des rues à l’échelle humaine. En redonnant priorité aux piétons par l’intermédiaire de rues sécuritaires et connectées qui s’adaptent à la vitesse de l’homme, les citoyens de la ville peuvent utiliser les différents services offerts dans les environs au lieu d’utiliser leur véhicule. De plus, utiliser un mode de transport lent donne la chance aux passants d’explorer la ville ce qui dilue les barrières qui ont été créées par l’utilisation de l’automobile et les quartiers spécialisés.

Services clefs dispersés dans le quartier

Source : W.Kerr et S.Herraghty, 2019

Ségrégation des services

Source : W.Kerr et S.Herraghty, 2019

L’interconnexion et la mixité urbaine permise par la ville de proximité sont des changements majeurs pour Calton. La connectivité des différents parcs par l’ajout de piste cyclable pour créer un réseau viable a permis à la population de parcourir les environs par un mode de transport actif. De plus, l’optimisation des espaces vacants en nouveaux services complémentaires aux quartiers spécialisés met en place une panoplie de services de proximité qui décourage l’utilisation de la voiture. Ainsi, le nouvel aménagement prône le bien-être, la sécurité et la santé des individus de la ville. 

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VILLE SÉCURITAIRE ET VIABLE

Le plan directeur de Calton vise à sécuriser le quartier et y repartir l'économie pour obtenir un espace de vie équilibré et viable.

PERCEPTION DE LA SÉCURITÉ DANS LE QUARTIER

 

Dans le plan directeur de Calton, les auteurs notent les zones qui sont perçues sécuritaires et d’autres moins sécuritaires. Le centre-ville et les alentours des stations de train, Glasgow Green qui est le plus grand parc du quartier et Gallowgate sont les espaces considérées inconfortables et dangereux. D’autre part, High Street, Argyle Street et George Square, qui sont des rues mieux développées et aux bordures du quartier, semblent être positivement perçues. Le problème majeur au niveau de la sécurité de Calton, établi par les auteurs, est la domination de l’automobile dans les différentes voies de circulations, en contraste avec le piéton délaissé. Les routes sont généralement en piteux états et les trottoirs sont, plus souvent qu’autrement, craqués et donc indésirables pour les piétons. 

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En bleu, les zones sécuritaires

En rouge, les zones moins sécuritaires

Source : Kerr & Herraghty, 2019

LES CARACTÉRISTIQUES GAGNANTES DU PLAN DIRECTEUR

Les caractéristiques des îlots mixte résidentiels et commerciaux, déterminés par les auteurs, comportent certaines mesures positives dans le volet sécurité, tel des façades actives sur les rues et aucun recul des blocs sur le trottoir des piétons et entre les blocs eux-mêmes. La plupart des coupes de modifications des rues traitées révèlent un design qui met le piéton en priorité, ensuite le vélo, les transports en commun et finalement l’automobile. Ainsi, les espaces pour les piétons sont beaucoup mieux protégés, une piste cyclable s’intègre dans la chaussée et les voies pour automobile sont réduites au minimum. Il en résulte une hiérarchie des fonctions qui protège les utilisateurs plus vulnérables. L’un des points importants dans le cadre socio-économique est la volonté d’avoir un maximum de façades ouvertes sur la rue. Celles-ci, en plus de permettre d’avoir plus d'yeux sur les rues et donc d'accroitre le sentiment de sécurité dans le quartier, sont le résultat d'une présence active des commerces en rez-de-chaussée. Il s’agit d’un élément essentiel à une vitalité économique dans un quartier. De plus, les commerces participent à l'animation de jour et de soir tout en amenant un achalandage composé de résidents et de non-résidents.

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Recul des façades

0M

Dégagement entre bâtiments

0M

Hauteur de bâtiment

15.55M

Façades actives

OUI

Nombre d'unité par bâtiment

3-10

Fusion de parcelles

2

Source : Kerr & Herraghty, 2019

Avant : La rue Gallowgate présentement

Après : Un modèle de rue principale (s'appliquant à Gallowgate)

Source : Auteur

LES MOINS BONS COUPS À AMÉLIORER

Une grande quantité de parcs ont été dispersés dans le quartier afin que chaque habitation en soit à moins de 150 mètres. Quoi qu'intéressante, cette mesure augmente le prix des terrains et des taxes municipales, ce qui peut contribuer à la gentrification du secteur. Il est à noter qu’une balance entre actions concrètes et protection des gens du quartier est toujours de mise en design urbain, particulièrement dans les quartiers défavorisés. Ce concept ne semble pas avoir été mis de l’avant par les auteurs du plan directeur, mais il a certainement été considéré en parti. Puisque le plan directeur s’adresse à une échelle de design urbain, les matériaux utilisés pour les rues, voies cyclables et piétonnes ne sont pas traités de manières exhaustives, mis à part pour le contexte écologique. D’autre part, le plan directeur ne traite pas directement de l’animation continue (jour, soir, nuit) dans les rues afin d’avoir des yeux en tout temps qui surveillent le quartier. Outre la conviction d’avoir plus de commerces ouverts en rez-de-chaussée, les auteurs traitent plus ou moins des notions d’habitants versus visiteurs et leur importance pour la sécurité continue du quartier. 

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VILLE ÉCOLOGIQUE

LE PROJET DE CALTON MET DE L'AVANT LA DURABILITÉ EN TENANT COMPTE DES DIMENSIONS SOCIALES, ENVIRONNEMENTALES ET ÉCONOMIQUES.

OBJECTIFS

L’un des objectifs du plan directeur est d’intégrer une connectivité en établissant un réseau vert de manière continue et interreliée avec les quartiers et les districts à proximité. Ceci va amener à favoriser l’identité communautaire du quartier ainsi qu’établir un réseau écologique durable. De plus, les concepteurs ont pris en compte la vulnérabilité de la ville face aux effets des changements climatiques, ils visent à mettre en place diverse avancée technique d’implantation douce pour les atténuer et préserver les espaces verts existant. 

L’intégration d’infrastructures vertes et bleues s’est faite de diverse façon. D’abord, les concepteurs ont intégré au plan directeur le système de drainage durable dans le but de diminuer les eaux de surface reçues par les précipitations. Les endroits les plus à risque d’inondation ont été identifiés tels que Duke Street à proximité de l’école primaire publique Alexander, tout au long de Parsonage Sqaure et autour de la gare Glasgow Cross.

 

Diverses techniques sont proposé telles que les jardins de pluies avec l’ajout de bordure et du pavé perméable. Les jardins de pluies vont être mis en place dans les zones à risque d’inondation, en bordure des rues ou entre les voies. Si cela ne suffit pas pour diminuer et ralentir le ruissellement, les jardins de pluies et le pavé perméable pourront être installés dans les stationnements.

Une autre technique établie dans le plan directeur est celle de «bioswale» soit par canaux introduits dans le sol perméable des jardins pluviaux. L’intégration de cette technique va se faire dans des zones à risque telles qu’à Glasgow Green et dans le parc de Bellgrove. 

TECHNIQUES

Source : Kerr & Herraghty, 2019

Jardin de pluie

Source : Kerr & Herraghty, 2019

Pavés perméables

Source : Kerr & Herraghty, 2019

RÉSEAUX

L’implantation d’arbres en bordure de rues va établir une connectivité des réseaux écologiques. Les arbres vont être situés en bordure de voies principales et locales servant de zone tampon afin de réduire les effets des ilots de chaleurs. De plus, le plan directeur établit des nœuds verts locales «utilisables» soit aménagée avec des végétaux, arbres, espace de jeux, bancs et sentiers connectés. Ces nœuds verts locaux ou nommés «parcs de poches» vont être situés à moins de 150 m des logements d’habitation (lisibilité). Ils visent à établir des interactions entre les gens du quartier (variété) permettent une mixité des usagers créant ainsi un dynamiste dans la rue. Ceci va apporter des biens faits au niveau de la santé mentale et physique des résidents. 

«Parc de poche»

CONSERVATIONS ESPACES VERTS

Glasgow Green et la Nécropole comprenant plusieurs parcs verts qu’ils vont être conserver tels qu’elles dans le plan directeur puisqu’ils sont bien conçus et ont un fort apport d’utilisation par la population de Calton, Glasgow et d’Écosse.

 

OBJECTIFS

L’un des objectifs du plan directeur est d’intégrer une connectivité en établissant un réseau écologique constant et physiquement joint avec les quartiers à proximité (Kerr & Herraghty, 2019). Cet objectif vise à favoriser l’identité collective du quartier ainsi qu’établir un réseau vert durable (Kerr & Herraghty, 2019). De plus, les concepteurs ont pris en compte la vulnérabilité de la ville face aux effets des changements climatiques, ils visent à mettre en place diverses avancées techniques d’implantation douce pour les atténuer et préserver les espaces verts existants. 

L’intégration d’infrastructures vertes et bleues s’est faite de diverses façons. D’abord, les concepteurs ont intégré au plan directeur le système de drainage durable dans le but de diminuer les eaux de surface reçues par les précipitations. Les endroits les plus à risque d’inondation ont été identifiés par les concepteurs tels que Duke Street à proximité de l’école primaire publique Alexander,  Parsonage Square et près de la gare Glasgow Cross.

 

Diverses techniques sont proposées telles que les jardins de pluies avec l’ajout de bordures et du pavé perméable. Les jardins de pluies vont être mis en place dans les zones à risque d’inondation, en bordure des rues ou entre les voies. Notamment, les jardins de pluie et le pavé perméable vont être installés dans des stationnements.

Une autre technique établie dans le plan directeur est celle de «bioswale» soit par canaux introduits dans le sol perméable des jardins pluviaux. L’intégration de cette technique va se faire dans des zones à risque telles que le parc de Bellgrove. 

TECHNIQUES D'IMPLANTATION DOUCE

Source : Kerr & Herraghty, 2019

Jardin de pluie

Pavés perméables

Source : Kerr & Herraghty, 2019

Source : Kerr & Herraghty, 2019

RÉSEAUX VERTS

L’implantation d’arbres en bordure de rues va établir une connectivité des réseaux écologiques. Les arbres vont être situés en bordure de voies principales et locales. Ceci va permettre d'atténuer les effets des îlots de chaleurs. De plus, le plan directeur établit des nœuds verts locaux «utilisables» (Kerr & Herraghty, 2019). Ils sont aménagés avec des végétaux, arbres, espaces de jeux, mobiliers urbains et sentiers ouverts (Kerr & Herraghty, 2019). Ces nœuds verts locaux ou nommés «parcs de poches» vont être situés à moins de 150 m des logements d’habitation. Ils visent à établir des interactions entre les gens du quartier permettant une mixité des usagers créant ainsi un dynamiste dans la rue. Ceci va apporter des biens faits au niveau de la santé mentale et physique des résidents. 

Noeud vert local

Source : Kerr & Herraghty, 2019

CONSERVATION D'ESPACES VERTS

Les espaces verts que procurent Glasgow Green et la nécropole n'auront pas d’intervention dans le plan directeur. Ils sont bien aménagés et ont un fort apport d’usagers. Donc, la conservation de ces espaces verts favorise les activités récréatives, physiques et d’interactions sociales pour la population de Calton, Glasgow et d’Écosse. De plus, ils réduisent les effets d'îlot de chaleur et d'inondations.

Les concepteurs du plan directeur ont mis en place des solutions d’infrastructures vertes et bleues permettant une durabilité du quartier augmentant la résilience aux changements climatiques tout en favorisant l’aspect social des résidents.

Glasgow Green et la nécropole

Source : Kerr & Herraghty, 2019

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